Swiss Beef

Association des producteurs suisses de viande bovine de qualité. Nous nous engageons en faveur d’une production de viande de bœuf de haute qualité, écologique et rationnelle, basée autant que possible sur l’alimentation fourragère produite par l’exploitation

Swiss Beef défend vos intérêts

L’association Swiss Beef s’engage dans l’intérêt des engraisseurs de bovins pour obtenir des conditions-cadres optimales pour la production et sur le marché. En sa qualité d’interlocuteur compétent dans les domaines de la politique, du commerce, de la transformation, de la recherche et la de formation, elle représente les intérêts de ses membres.

Les engraisseeurs Swiss Beef couvrent un large éventail de l’engraissement bovin. Outre l’engraissement de taureaux selon le programme AQ-Viande Suisse pour la viande suisse et divers labels, les génisses et des bœufs sont également engraissés selon le programme AQ et les labels actuels. Les membres de Swiss Beef disposent d’environ 60 000 places d’engraissement dans leurs exploitations.

Trois sections, un seul objectif

Swiss Beef CH compte 3 divisions. Swiss Beef Région Est (180), Swiss Beef Mittelland (260) et Swiss Beef Romandie (80). Ces 3 divisions totalisent 520 membres actifs disposant du droit de vote.

Nos principes

  • Représentation des intérêts des engraisseurs vis-à-vis des partenaires commerciaux.
  • Prise de position lors des consultations de la Confédération sur les lois et ordonnances concernant le secteur de la viande bovine.
  • Participation active à l’élaboration de la politique agricole.
  • Communications aux membres de Swiss Beef Publication des 2 numéros du magazine Swiss Beef Informationen (printemps, automne).
  • Représentation des engraisseurs auprès des Producteurs Suisses de Bétail Bovin (PSBB).
  • Représentation des producteurs de bétail bovin au sein de Proviande.
  • Encouragement de l’échange d’expériences entre les membres.
  • Coopération active avec les autres organisations professionnelles de la production bovine.
  • Recrutement de membres
  • En cas de baisse de la production de viande bovine, lutte pour un prix plus élevé avant d’augmenter les importations.
  • Consolidation du service sanitaire pour les veaux
  • Accent mis sur la culture du maïs – Soutien au projet Mais-Net d’Agroscope
  • Consolidation du commerce des veaux d’engraissement

Notre vision

  • Promouvoir une production de viande bovine de haute qualité et rationnelle sur la base du fourrage produit sur l’exploitation.
  • Défendre et promouvoir les intérêts professionnels communs et leur représentation vis-à-vis de la Confédération, des cantons et d’autres organisations.
  • Représenter les intérêts des producteurs suisses de viande bovine de qualité, toutes filières de production confondues.
  • Créer des conditions-cadres optimales pour une production de viande bovine rentable et professionnelle.
  • Développer les relations publiques, présence dans les médias et les salons.
  • Préserver l’image qualitative de la viande bovine suisse.
  • Publier régulièrement des informations actuelles.
  • Examiner s’il est possible et judicieux d’intervenir sur le marché de la viande bovine en collaboration avec Proviande (mesures d’allègement du marché, importations, etc.).
  • Garantir un financement à long terme.
  • Collaborer plus étroitement avec les organisations de producteurs de viande bovine.
  • Viser un haut degré d’organisation.
  • Améliorer la qualité des veaux d’engraissement et des remontes d’engraissement.
  • Déterminer les besoins en matière de recherche dans le domaine de l’engraissement du gros bétail et soutenir ces recherches.
  • Optimiser les marges commerciales.

Production

La production nationale représente environ 82% de la viande bovine (viande de boucherie et viande transformée). Environ 18% des besoins sont donc importés. Les importations se font principalement sous forme de viande transformée (découpes et demi-carcasses de vaches) et de morceaux nobles (onglets, filets, etc.).

Les animaux d’engraissement proviennent principalement d’exploitations laitières qui vendent les veaux femelles, et surtout mâles, dont ils n’ont pas besoin pour la reproduction à des engraisseurs de veaux ou de gros bétail. La viande issue de ces animaux d’engraissement est un sous-produit de la production laitière. Les engraisseurs de Swiss Beef achètent les animaux soit comme veaux d’engraissement d’environ 75 kg de poids vif, soit comme remontes d’engraissement ou «veaux de boucherie» d’environ 200 kg de poids vif.

Alimentation

L’alimentation couvre un large spectre. L’engraissement de gros bétail est basé sur du fourrage grossier suisse. La composition du fourrage grossier et les compléments alimentaires sont adaptés aux besoins des animaux en fonction de leur sexe et de leur race. Les taureaux ont un fort potentiel de croissance et doivent donc être nourris de manière intensive. La ration se compose de maïs ensilé entier, d’herbe ensilée, éventuellement de pulpe de betterave sucrière, de pommes de terre fourragères ou de drêches de brasserie, ainsi que d’un aliment concentré complémentaire (aliment complémentaire) adapté à la ration. Ainsi, malgré le potentiel de croissance élevé, il est possible d’obtenir une qualité de carcasse conforme au marché, avec la conformation, la couverture graisseuse et le persillage souhaités.

La durée d’engraissement des taureaux est d’environ 11 mois, du veau d’engraissement de 75 kg au taureau de boucherie de 520 kg. Les génisses et les bœufs ont un potentiel de croissance légèrement plus faible et peuvent également être engraissés dans des systèmes d’engraissement en pâturage. Leur ration est également à base de fourrage grossier, avec généralement plus d’herbe et d’herbe ensilée ou de foin. En fonction de la race, ces animaux sont également engraissés avec des aliments complémentaires, en particulier en fin d’engraissement, afin d’obtenir une qualité de carcasse conforme au marché. La durée d’engraissement est d’environ 400 à 500 jours pour l’engraissement semi-intensif et de 650 à 700 jours pour l’engraissement extensif.

Comme mentionné précédemment, les taureaux ont un potentiel de croissance plus élevé. Cela se reflète dans les gains de poids journaliers moyens. Ces augmentations journalières se situent entre 1200 et 1400 g par jour chez les taureaux, et entre 700 et 1000 g par jour chez les génisses ou les bœufs. Les différences d’intensité d’engraissement entraînent également des différences dans les besoins en fourrage. Les taureaux ont besoin d’environ 1500 kg de matière sèche, sous forme de fourrage grossier (principalement du maïs ensilé, de l’herbe ensilée et un peu de foin) et d’environ 700 kg d’aliments complémentaires. Les génisses et les bœufs consomment environ 3500 kg de matière sèche fourragère (herbe des pâturages, herbe ensilée et foin) et, selon l’intensité de l’engraissement et la race, de 100 à 350 kg d’aliments complémentaires.

Actualités

Découvrez ici l’essentiel en bref. Nous publions des informations actuelles telles que des tableaux de prix, des procès-verbaux d’assemblées ou encore des comptes-rendus de colloques et d’événements des divisions. Tenez-vous au courant et consultez également notre agenda.

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Prochain événement

Vous trouverez ici les informations sur nos événements à venir

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Pourquoi devenir membre?

Adhérer à Swiss Beef vous permet d’exercer une influence directe avec nos structures allégées. Nous nous engageons pour des conditions-cadres optimales et ce n’est qu’ensemble que nous aurons suffisamment de poids sur le marché. Nous sommes reconnus comme un interlocuteur compétent par la politique agricole, le commerce, les transformateurs et les différentes associations, les instituts de recherche et les hautes écoles, la presse spécialisée, Proviande et le service sanitaire pour les veaux.

Pascal Zöbel se fera un plaisir de traiter votre inscription par e-mail ou par téléphone.